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La légende des Dames Blanches sur Médiéval et Moyen-Âge

              Un nouvel article sur Médiéval et Moyen-Âge proposé par Philippe le Templier… La légende des mystérieuses Dames Blanches…

 
              Qui ne connaît une histoire de Dame Blanche racontée à la veillée par quelque proche qui l’aurait rencontré, ou à qui quelqu’un avait dit l’avoir vue.
 
              Ce fantôme familier est très courant en Europe, particulièrement en France, vieille terre Celtique emplie de mystères et de légendes, où le surnaturel effleure parfois le réel.
 
              La Dame Blanche est en général jeune et belle, elle est le plus souvent gentille et bénéfique particulièrement en faveur des enfants. (Bonne Fée)
Parfois elle est triste, pleure, demande de l’aide et réclame qu’on la suive, ce qu’il faut toujours faire car la Vox Populi affirme que la personne ayant le courage de suivre une Dame Blanche s’en portera  plutôt bien : découverte de trésor, guérison miraculeuse, catastrophe évitée…
En revanche, il ne faut jamais essayer de surprendre ou de suivre une Dame Blanche sans son accord, il risquerait de vous arriver quelque chose de funeste. (Souvenez vous de mon article sur Mélusine).
 
              La Dame Blanche est réputée pour la prévention des catastrophes et des accidents : aussi la rencontre t’on souvent au bord des routes aux endroits particulièrement dangereux où il y a déjà eu mort d’homme.
Que pourrait on en déduire ? Qu’il s’agit d’une âme en peine ne trouvant pas son chemin ? Ou bien de quelqu’un essayant d’éviter aux autres  ce qui lui est arrivé ? Mais alors pourquoi toujours une femme tout de blanc vêtue ? Et non un spectre classique ? L’Au-delà serait il féministe plus que dans le Réel ?
 
              Souvent l’on rencontre la Dame Blanche dans les ruines d’un Château du Moyen Âge ou d’une tour médiévale, et là elle pleure ! Il est alors bon de savoir où elle apparaît et où elle disparaît car il s’agit certainement de l’endroit de sa tombe. Nous nous trouvons alors devant un cas de hantise par une Ame en peine qu’il faut soulager, souvent par la prière ou par le fait de lui faire dire une messe de repos.
 
              Mais surtout et enfin, pourquoi une Dame Blanche, plutôt que quelqu’un d’autre ? Serait ce parce que les Druidesses étaient habillées ainsi (les Druides également d’ailleurs), mais aussi et surtout parce que la couleur du deuil était le Blanc, c’est pourquoi les Reines de France, devenues veuves étaient de blanc vêtues.
 
              Nous pouvons également nous interroger sur les apparitions miraculeuses. Hormis la Dame qui parle ouvertement de religion, que sont donc les autres ? Des Dames Blanches ! Souvenez vous il faut toujours chercher à savoir ce qu’elles désirent, et si possible les satisfaire. Je pense pour mon compte qu’un contact quel qu’il soit est toujours bénéfique, aussi si vous rencontrez une Jeune et Jolie Dame habillée de Blanc écoutez là, vous ferez bien, il vous sera toujours possible après coup d’exercer votre libre arbitre.
 
              Il me reste à souhaiter que vous aimiez ce nouveau texte, sur un sujet somme toute délicat, et qu’il vous fera réagir comme souvent.
 
Fraternellement PHILIPPE LE TEMPLIER
 
 
 
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À propos
Honorius

Un passionné de médiéval et de moyen age, fait partie d'une troupe de reconstitution historique sur cette période, j'ai le personnage de sorcier alchimiste. Mais j'ai de nombreuses autres passions...
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N
J ai vu et il était entre 01h et 02h du matin le 8 mars 2020 une femme âgée habillée d une espèce de soutane a capuche qui ne laisser pas apparaitre sa chevelure de blanc. Elle etait d un blanc magnifique et en même temps transparente. J ai eu une impression de fumée blanche epaisse.Elle se tenait au pieds de mon lit et me fixait. Cela n a durée que quelque secondes. Je n ai pas ressenti de peur mais depuis je suis perturbé et je faits des recherche sur le net pour savoir si d autre comme moi on eu cette expérience. Je recherche aussi tout info.
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M
Elle existe vraiment parce que je l'ai déjà vu un jour dans ma chambre j'ai parlé sur elle disait des trucs méchants j'essayais de la ok un jour j'ai pu dormir elle me regardait avec son couteau après j'étais sous la couette après elle est partie a été moche à l'EHPAD de y a été plein champ une robe de mariée.???????????? non c'est pas son vrai historien plein de gens qui disent des histoires mais je sais pas c'est quoi ça vraie histoire.
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J
<br /> Salut tout le monde! Je n'ai encore jamais vu de dame blanche. En primaire, on m'a dit qu'elle était méchante. Maintenant, je suis en 5ème et je pense, après tout ce qu'on m'a dit au collège, je<br /> pense qu'elle est gentille. Je suis moi aussi en Afrique, à Djibouti et dans un quartier entièrement djiboutien donc noir, il est très dangereux pour les blancs car La dame blanche est... blanche,<br /> non?<br /> <br /> Bises à tout le monde, juliette<br /> <br /> <br />
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H
<br /> <br /> rare a voir les Dames blanches, un genre de fantôme. Bisous Juliette<br /> <br /> <br /> <br />
S
L'Enigme de la Dame Blanche<br />     Stephan LEWIS<br />  <br />  <br />        12 juin 2002 ... <br /> <br />         Il est un peu plus de vingt deux heures ...<br />         Un sexagénaire à l’aspect distingué reflétant visiblement le flegme britannique, roule tranquillement pleins feux au volant de sa Jaguar E sous un ciel piqueté d’une myriade d’étoiles vers Lavelanet, petite commune de l’Ariège, région Midi-Pyrénées.<br />         Il vient de dépasser la bretelle de Foix et il ne lui reste qu’une dizaine de kilomètres à parcourir. D’un geste machinal, notre homme allume la radio et prête une oreille distraite aux nouvelles condensées, que donne une speakerine à la voix agréable. La nuit est lumineuse, l’air tiède et malsain. Le véhicule vient de négocier un virage serré, lorsque dans le faisceau de ses projecteurs le chauffeur distingue une forme blanche plantée au milieu de la chaussée à moins d’une cinquantaine de mètres de distance. Surpris, il décélère jusqu’à stopper à hauteur d’une jeune fille toute de blanc vêtue.<br />         Il fait aussitôt coulisser sa vitre...<br />         - Bonsoir mademoiselle ... Vous allez vous faire renverser ! Que faites-vous donc par ici à pareille heure ?... s’étonne ce dernier en s’exprimant avec un léger accent anglo-saxon.<br />         - Je me rends à Lavelanet... Pouvez-vous m’emmener enville ? C’est là que j’habite... indique la jeune personne d’une voix sourde et mécanique, dont le visage reflète une pâleur des plus singulières.<br />         Avec un léger haussement d’épaules, le conducteur lui retourne un sourire pincé, mais indulgent. Il s'incline pour lui ouvrir galamment la portière et l’invite à s’installer sur le siège avant. Puis le véhicule poursuit aussitôt sa route...<br />         Chemin faisant, notre homme détaille furtivement sa passagère à la dérobée, d’un œil réservé et discret par-dessus ses petites lunettes qu’il porte sur le bout du nez ... 19-20 ans. Vêtue d’une robe blanche très années 60. Plutôt agréable à regarder, bien que curieusement pâlotte et ... peu bavarde, ne soufflant même le moindre mot ; l’autoradio qui diffuse un programme de musique légère meublant à lui seul cette morne atmosphère.<br />         Le chauffeur fait encore quelques tentatives pour nouer conversation, mais ses efforts demeurent toutefois infructueux, sa passagère ayant adopté une passivité quasi alarmante. Elle demeure inexplicablement silencieuse et immobile, un peu raide sur son siège, étrangement indifférente à tout ce qui l’entoure, presque absente.<br />         Ils roulent depuis maintenant une dizaine de minutes. Un silence gênant, presque pesant règne à bord, lorsqu’une pluie tiède et pénétrante se met soudainement à tomber avec une extrême violence. De grosses gouttes s’écrasent sur le pare-brise, alors que la  berline vient de dépasser le panneau signalant leur destination.<br />         La pluie s'abat en un véritable déluge, comme si une main géante avait ouvert un titanesque robinet. Une bourrasque souffle même soudainement sur la commune, tandis que la Jaguar emprunte la rue totalement désertée, éclairée succinctement par quelques enseignes au néon restées allumées.  <br />         La jeune fille désigne bientôt une habitation à peine distincte, perdue au fond d’un grand parc.<br />         - C’est ici que j’habite... indique-t-elle d’une voix plutôt froide en remuant à peine les lèvres.<br />         N'y accordant aucune attention particulière, le conducteur lui propose courtoisement son imperméable, le temps pour sa passagère occasionnelle d’aller quérir un parapluie afin d’être en mesure de lui restituer son bien.<br />         Sans la moindre formule de remerciement pour son bienfaiteur, elle a jeté le vêtement de pluie sur ses frêles épaules avant de se diriger d’un pas lent vers le lourd portail qui s’est ouvert en grinçant sinistrement. Puis, elle s'est fondue dans la nuit.<br />         Son moteur tournant au ralenti et après avoir essuyé la buée qui se déposait sur la vitre d’un revers de la main, le chauffeur enfonce une allumette craquante dans le fourneau de son brûle-gueule. Il décide de patienter en écoutant distraitement la radio, sous l’égrenage incessant des va-et-vient monotones de ses balais d’essuie-glace qui se sont emballés pour chasser le voile hydrique ruisselant en continu sur le pare-brise.<br />         La rue est à présent balayée par des trombes d’eau qui se déversent sur la bourgade prise au sein d’un violent orage.<br />         Dix minutes se passent au cœur d’un silence seulement troublé par les battements de la pluie torrentielle qui a redoublé d’intensité, sans que la jeune fille n’ait refait son apparition.<br />         Après avoir réprimé un mouvement d’impatience assorti d’un soupir de lassitude, le conducteur s'est rangé prudemment sur le côté de la chaussée contre la bordure du trottoir, avant de couper les gaz et d'éteindre ses phares. Puis, il relève frileusement le col de son veston pour se ruer, la tête rentrée dans les épaules, sous la pluie battante et le vent qui souffle en rafales, en direction du portail resté entrouvert.<br />         Il traverse à présent le parc d’un pas pressé en frissonnant dans la nuit froide. Après avoir gravi les quelques marches menant au perron de l’habitation, il a trouvé refuge sous le porche protecteur de la porte d’entrée.<br />         Un léger trait de lumière filtre à travers les volets de l’une des grandes baies vitrées. Avec un geste d’humeur, il s’éponge succinctement le visage, chasse nerveusement une mèche rebelle collée sur son front partiellement dégarni et essuie précautionneusement les verres de ses binocles. Sa redingote ruisselle de pluie, aussi se décide-t-il sans plus attendre et au risque qu’on le prenne pour un importun, à utiliser la sonnette ...<br />         - Quel toupet !... murmure-t-il entre les dents... La jeunesse d’aujourd’hui est d’une ingratitude !<br />         Le parc vient de s’illuminer, dévoilant ses pelouses verdoyantes et les massifs fleuris qui le tapissent… Mais la porte s'entrouve craintivement sur un homme âgé et squelettique, au faciès en lame de couteau et aux cheveux blancs. Il porte un vêtement d’intérieur. La mine étonnée et méfiante qu’il affiche ne surprend pas outre mesure son visiteur, étant donné l’heure avancée de la nuit.<br />         - Cher monsieur, pardonnez mon intrusion à cette heure tardive ... s’excuse ce dernier sur un ton empressé en prenant un air navré assorti d’un sourire gaufré... J’aurais souhaité récupérer la gabardine que j’ai prêtée il y a un quart d’heure à la jeune personne que je viens de déposer.<br />         Le vieil homme le dévisage d’un air interloqué à l’instant où surgit à sontour une femme d’un âge avancé, certainementl’épouse venue à la rescousse. Elle lui retourne elle aussi un regard sans équivoque, empreint d’une évidente suspicion.<br />         - Il n’y a aucune jeune personne ici... rétorque le vieillard d’une voix sèche et courroucée, visiblement sur ses gardes... Vous devez vous tromper d’adresse monsieur. Il y a assurément erreur... ajoute-t-il d’un air farouche en ébauchant même un geste d’indifférence, voire de mauvaise humeur.<br />         Poussée par une main rageuse, la porte a claqué au nez de ce visiteur visiblement indésirable.<br />         L’attitude du maître de maison, aussi inconvenante qu’inattendue, a pour conséquence d’exaspérer notre homme, lui faisant même perdre une bonne partie de son flegme naturel. Après avoir haussé les sourcils et s’être difficilement contenu, il ne renonce pas pour autant, mais fait aussitôt une seconde tentative avec un air déterminé.<br />         Et la sonnette tinte une nouvelle fois...<br />         La porte s’est de nouveau ouverte sur le maître de maison, visiblement agacé. Son visage est empourpré du rouge d’une colère naissante et reflète à présent la mauvaise humeur. Sa voix se hausse même au diapason de l’exaspération ...<br />         - Que voulez-vous enfin monsieur ! ... Permettez-moi de vous faire remarquer que votre insistance s’avère des plus déplacées ! Allez-vous continuer encore longtemps cette plaisanterie de mauvais goût ?... fulmine-t-il, exaspéré, saisi d’un énervement manifestement incontrôlable.<br />         L’autre paraît littéralement secoué par la surprise...<br />         - Calmez-vous mon ami ! Je m’excuse encore une fois de devoir vous importunerde la sorte et je conçois parfaitement l’incongruité de ma visite à pareille heure. Mais j’ai cru faire plaisir à cette jeune personne qui errait sur la route en la ramenant chez elle. Avec ce fichu temps, je lui ai même prêté mon imperméable. Et voici le résultat !... argumente ce dernier en se passant une main agitée sur ses vêtements mouillés.<br />         - J’habite seul ici avec mon épouse... s’emporte maintenant le vieil homme sur un ton irrité et peu amène, assorti d’une agressivité à peine masquée... Vous n’allez quand même pas nous rejouer cette comédie à tour de rôle !<br />         - Que voulez-vous dire ?<br />         - Ne faites donc pas l’innocent ! Il y a plus d’un mois que cette mauvaise farce persiste ! ... Et à chaque fois qu’il pleut !... indique-t-il avec âcreté, la moue exaspérée, en tendant un doigt accusateur en direction de celui qu’il considère certainement comme un plaisantin de mauvais goût, flanqué d’un importun personnage.<br />         - Mais ... Je vous assure que je ne comprends pas !<br />         - Bon ... Je veux bien vous croire... admet enfin le vieillard d’une voix soudain déconfite, assortie d’un soupir d’énervement... Vous êtes peut-être sincère après tout. Mais rendez-vous compte ! Vous êtes la quatrième personne à nous réclamer soit un parapluie, soit un ciré, ou encore un imperméable prêtés à je ne sais quelle jeune personne censée habiter cette demeure !<br />         Devant l’air ahuri affiché par son interlocuteur de passage, le maître de maison paraît cette fois perplexe. Sa lèvres’est gonflée en une moue d’ennui. Il semble tout à coup enclin à demeilleures intentions. Le ton employé s’est même subitement radouci ...<br />         - Bon... Entrez ... Nous serons mieux à l’intérieur ... Quel temps de chien ! Et cette maudite bourrasque ! Pardonnez mon emportement, mais nous sommes sur les nerfs. Si cette plaisanterie au demeurant stupide persiste, nous finirons par aller déposer une plainte au commissariat.<br />         - Je vous certifie pourtant avoir vu cette jeune personne s’introduire dans votre propriété et je puis vous assurer qu’elle n’en est pas ressortie. Je suis formel... insiste le visiteur.<br />         - Nous ne comprenons rien à cette comédie... confie à présent l’homme d’une voix crispée, visiblement au comble de la contrariété... Et je vous garantis que personne, à part vous, n’est entré ici ce soir.<br />         Ils sont à présent dans le couloir. Le visiteur a croisé le regard hostile de la femme qui, sans la moindre indiscrétion, a retourné un œil désapprobateur envers son époux, lui signifiant certainement par là qu’il avait eu tort d’ouvrir leur demeure à cet étranger dont elle désapprouve visiblement la présence, la jugeant même manifestement désobligeante.<br />         - Permettez au moins que je me présente... suggère toutefois ce dernier, plutôt confus, en lui adressant un sourire contraint, conscient de jouer ici et involontairement le rôle de l’intrus, de l’indésirable... Je suis le professeur Joseph Winter. Je reviens d’un congrès qui s’est déroulé à Perpignan et ...<br />         - Le professeur Winter ! Le célèbre archéologue ! J’aurais dû vous reconnaître ! On parle si souvent de vous à la télévision et dans les journaux... s’enthousiasme subitement le mari d’une voix confuse, la mine soudain penaude... Vous êtes Britannique n’est-ce-pas ? Mais vous possédez une propriété près d’ici. A Montségur, si je ne m’abuse ?... et le vieil homme semble à présent ne plus vouloir tarir d’éloges sur son visiteur.<br />         - J’étais justement en route pour regagner mes pénates... précise ce dernier avec un sourire discret, à la fois soulagé et visiblement satisfait de la notoriété dont il semble jouir en ces lieux.<br />         - Excusez-nous professeur, mais depuis quelque temps, nous sommes devenus méfiants... s'empresse de bredouiller à son tour la femme, au terme d'un silence gêné... Pas plus tard que la semaine dernière, un jeune homme d’une vingtaine d’années peut-être, plutôt vulgaire d’ailleurs, nous a dérangés à peu près à la même heure pour nous conter à peu de chose près les mêmes faits, alors qu’il faisait également un temps épouvantable. Il prétendait lui aussi avoir raccompagné une jeune femme jusqu’à la grille du parc et lui avoir prêté son parapluie. Cette jeune personne l’aurait aussi prié d’attendre qu’elle revienne avec le sien pour lui restituer son bien.<br />         - C’est étrange ... vous me dites que les conditions climatiques étaient identiques à cette nuit... relève Winter, perplexe.<br />         - Je vous prépare une tasse de thé professeur. Cela aidera peut-être à vous faire oublier notre emportement... propose cette fois la femme, devenue soudainement prévenante, invitant même son visiteur à pénétrer dans la salle à manger avec un geste d’insistance.<br />         Winter consulte rapidement son bracelet-montre...<br />         - Vous êtes très aimable chère madame ?...  observe-t-il en esquissant un sourire d’amabilité, butant volontairement sur le patronyme.<br />         - Devaux ... Monsieur et madame Devaux... se hâte de préciser le mari.<br />         - Je vous remercie de votre obligeance madame Devaux, mais j’ai déjà perdu un temps précieux et vous m’en voyez sincèrement navré. Je ne puis m’attarder davantage ... Tant pis pour ma gabardine. Il faut croire que cette jeune personne qui vous joue cette farce collectionne, à votre insu, les vêtements et les accessoires de pluie... présume Winter avec un sourire contraint... N’excluons toutefois pas la possibilité d’une plaisanterie d’un goût dirons-nous ... douteux. Mais enfin ...<br />         Sans autre commentaire, il s’est déjà hâté vers la sortie, lorsqu’il jette un œil oblique et distrait sur le bahut de la salle à manger … Il n’a pu retenir un tressaillement, tandis que son regard accroche et s’attarde sur l’une des photos encadrées qui garnissent le buffet. Fronçant les sourcils dans un tic qui lui est familier, il a marqué un temps d’arrêt. Ses hôtes de circonstance, sans comprendre, ont à leur tout dirigé leurs regards dans la même direction, sans cependant interpréter la réaction étrange du professeur.<br />         - La jeune fille, sur cette photo !... s’étonne ce dernier en se penchant sur le portrait.<br />         L'ombre d'une profonde tristesse est passée dans les yeux gris du vieil homme et son visage s’est subitement creusé.<br />         - C’est notre petite Sarah... murmure-t-il, en étouffant un soupir haché.<br />         - Elle nous a quittés il y aura bientôt trente ans ... Elle est décédée dans un accident de la circulation... complète la femme d’une voix rendue rauque par l’émotion, détournant presque aussitôt son regard... Elle venait d’avoir ses vingt ans. Elle repose dans le petit cimetière, près de notre maison.<br />         Cette fois, le professeur a haussé les sourcils ... Sans en demander l’autorisation, il s’est emparé du cadre renfermant la photographie qui représente une jeune fille au sourire moqueur et insouciant, assise en amazone sur une moto.<br />         - Ou votre fille a une sœur jumelle, ou... extrapole-t-il en hésitant, détaillant les Devaux d’un œil indiscret par-dessus ses binocles.<br />         Les intéressés ont échangé des regards interdits et Paul Devaux considère tout à coup Winter d’un air interloqué.<br />         - Nous n’avons eu que cette enfant... murmure-t-il, la lèvre inférieure légèrement tremblante en exhalant un nouveau soupir.<br />         - Que voulez-vous dire professeur ?... s’étonne à son tour l’épouse.<br />         Un embarras marqué s'est dessiné sur le visage de Winter qui examine à présent la photographie avec une attention soutenue.<br />         - Cela va certainement vous paraître absurde, mais la personne qui se trouvait   tout à l’heure dans ma voiture ressemble à s’y méprendre à votre fille... finit-il par avouer avec une moue de tergiversation.<br />         La femme a pâli. Son époux a sursauté. Ils échangent maintenant tous deux des regards effarés.<br />         - C’est impossible... objecte ce dernier d’une voix étranglée et mal assurée... Vous avez... tente-t-il d’ajouter sans cependant pouvoir terminer sa phrase, ses yeux gris semblant implorer une explication.<br />         Le désarroi s’est manifestement emparé du couple, visiblement paralysé par l’émotion. Le coup a été rude et difficilement encaissable, accentuant l’embarras du professeur. Celui-ci se trouve à présent dans la plus totale expectative, regrettant amèrement d’avoir ainsi jeté le trouble dans la demeure pour avoir remué involontairement des souvenirs depuis longtemps enfouis et par trop pénibles à évoquer.<br />         - J’avoue toutefois qu’avec l’obscurité... argumente-t-il alors gauchement avec une maladresse quasi étudiée, conscient de cette équivoque et tentant à présent de se reprendre avec un frisson de regret dans la voix... Et puis, il est vrai que cette jeune personne est restée de marbre durant le trajet. Nous n’avons échangé que quelques brèves banalités ... Après tout, j’ai très bien pu me tromper ... Et si vous me dites qu’elle était votre unique enfant ... Pardonnez mon erreur... finit-il par bredouiller, visiblement contrarié de s’être fourré dans une situation aussi délicate. Puis, après un ultime instant d’hésitation... Il est temps que je reprenne la route... argumente-t-il en toussotant... Fort heureusement, il ne me reste qu’une douzaine de kilomètres d’ici Montségur. Ravi d’avoir fait votre connaissance... ajoute-t-il en esquissant un sourire gêné, saluant ses hôtes occasionnels d’une main tendue, masquant maladroitement sa déconvenue. Puis, sans plus se faire prier, il s’est dirigé vers la sortie, suivi du couple qui semble à présent agir à la façon de deux automates, absent et le regard lointain, vide de toute expression.<br />         Trempé de la tête aux pieds, le professeur Winter a repris place au volant de sa Jaguar. La mine dubitative, son regard erre d’abord au hasard, épiant les alentours de la propriété. Puis, il détaille les environs avec une attention soutenue, guettant l’hypothétique apparition de la mystérieuse et audacieuse jeune fille. Mais l’endroit reste désert.<br />         Plus qu’à son tour partie prenante pour les intrigues et dévoré par une curiosité quasi pathologique, une étrange intuition vient de lui traverser l’esprit ...<br />         Les époux Devaux lui ont bien précisé que leur fille était enterrée dans le petit cimetière contigu à leur habitation ! Celui-ci doit donc se trouver dans le voisinage.<br />         Il se gratte pensivement la nuque, la mine réfléchie, étouffant trois ou quatre bâillements. Puis, avec des gestes lents trahissant sa perplexité, il a allumé sa courte pipe et contemple durant un instant les volutes de fumée bleue qui s’étirent paresseusement vers le plafonnier, en tapotant machinalement le cuir de son volant. Notre homme est visiblement intrigué, hésitant encore sur la décision à prendre, mais qui maintenant s’impose malgré l’heure avancée ... Dehors, la pluie a cessé de tomber ... Après une dernière hésitation et bien qu’il ne soit pas loin de vingt trois heures, son sens inné de la curiosité finit par prendre le dessus. Aussi se décide-t-il brusquement à en avoir le cœur net. Après avoir emprunté une lampe électrique dans le vide-poches, il abandonne une nouvelle fois son véhicule pour longer les murs du parc des Devaux.<br />         Il n’a parcouru qu’une cinquantaine de mètres, qu’il est déjà rendu devant l’entrée du cimetière. Les grilles sont ouvertes, mais les lieux ne sont pas éclairés. La nuit est noire, épaisse et inquiétante, aussi se glisse-t-il comme une ombre dans l’allée menant aux tombes.<br />         La silhouette sombre des arbres et la brise un peu forte qui agite les branches qui bruissent dans les ténèbres créent une atmosphère angoissante. On ne perçoit plus que le léger bruit de son pas qui crisse sur le gravier. C’est le cœur battant la chamade, qu’il est arrivé en vue des premiers tombeaux.<br />         Les pinceaux de sa lampe fouillent fébrilement l’obscurité. Impressionné par le silence et la solitude qui règnent dans l’endroit, il inspecte minutieusement chaque sépulture, à la recherche de celle portant le nom de Sarah Devaux … Mais il vient de tressaillir à l’approche d’un tombeau ... Il en reste même figé de saisissement ... Une boule d’angoisse lui bloque la gorge ... Ce n’est pas le patronyme gravé sur la pierre qui en est responsable. C’est le vêtement de pluie qu’il vient de reconnaître pour être le sien et qui recouvre le caveau sur lequel il lit avec stupéfaction ... « Ici repose Sarah Devaux. »<br />    Mes autres histoires fantastiques sur :<br />    http://stephanlewis.kazeo.com/?page=rubrique&idr=0&pa=1<br />
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M
 <br />  <br /> nous nous sa nous fait peur , comment on la voit ? et pourquoi forcément cette dame et pa une autre dame ? et pourquoi pas une dame noir ?<br /> repondez nous sil vous plait !
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A
Salut c'est encore moi, alec des commentaires ci-dessus. Est ce vrai que si l'on regarde dans un miroir au 12 coups de minuits, nous la voyons? vous pouvez me répondre svp.
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A
J'éspère que le texte dit vrai, car si un jour je la voie, ce qui risque fort de m'arriver un jour. Et quel me dit de la suivre, et que par conséquent je le fait comme indique le texte, je ne voudrai pas avoir de mauvaise surprise. Mais de toute facon, comment une femme aussi belle pourait me faire du mal un? vous pouvés répondres. Salut à tous
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A
je reverai un jour de la voir et jure etre des plus dou avec elle et entierement a son écoute
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:
bonne nuit.........!
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M
bonne fin de semaine. Bisous
S
La dame blanche était en 2002 sur la digue qui a cédée à Marsillargues.Si quelqu'un ne veut pas me croire j'ai quelque chose qui vous détompera:la digue qui a cédé est à côté d'un cimetière.il y en a qui disent qu'elle était là pour réparé la digue.J'en suis sur car elle n'est pas méchante et elle ne peut pas avoir fait cédé la digue car il y avait déjà beaucoup d'eau.Je vous conseille de ne pas vous moquer d'elle car si vous tapez dans google :"image et légende de la dame blanche " vous prendrez le premier site et lisez les comentaire.Il y a quelqu'un qui c'est fait grifer par la dame blanche.<br />                  Un marsillarguois qui croi qu'elle existe
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H
franchement je pense que ces légendes ont toutes une base de vérité... Alors pourquoi pas sa présence sur cette digue
V
Pour une raison que j'ignore, je n'arrive pas à voir les proverbes. Véro
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H
petit BUG d'image. Bisous
A
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H
je laisse pour une fois cette pub.. A+
A
bisous je file au dodo il ce fait tard
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H
C'est encore tôt pour moi !!! bisous
K
bonjour! Ca faisait longtemps que je n'étais pas venu visiter ton petit monde!<br /> Ton nouveau texte me donne bien envie de m'acheter une robe blanche ;)<br /> biz
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H
HI hi.... gros bisous
A
Salut à toi Honorius!!!<br /> Juste une petite visite de courtoisie pour mon ami le vieux sorcier!!!<br /> Et bon courage pour tes préparations de spectacle!!!<br /> Amitiés, Adunaphel
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H
Je suis presque prêt, la voiture va être chargée à fond !!! Amitiés
S
Voici un com qui arrive peu etre bien tard mais bon. L'histoir de dame blanche j'en ai entendu beaucoup, l'une qui ma le plus frapper ses quand j'avais dix en classe de mére, à laveiller on nous à raconter cette histoir et j'ai eu la peur de ma vie car à la sortie de la veillé une éducatrice c'était vétue en dame blanche. Mais bon ça me reste tout de même un bon souvenir.<br /> Il parrait aussi que s'il l'on prononce 10 fois de suite "la dame blanche" elle apparait, mais pas en bien si c'est juste pour rire, ou dans l'intension de l'offancé. Pour m'a par je n'essaillerai pas car déjà prononcé que quelque fois sont nom ma fait connaitre des fénomême plustot étrange alors je ne m'y risquerais pas. Si je la rencontre un jour comme ça et ça ne me dérangera pas.<br /> A plus.
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H
très interessant ce com... Bisous
M
Bien le bonjour ! <br /> Voilà bien longtemps que je ne suis venue sur ce blog mais je suis maintenant en vacances (donc ai accès au net), donc vais pouvoir rattraper le temps perdu ! ^_^<br /> Ce petit article me rappelle l'émission de l'autre soir, vendredi il me semble, que j'ai regardé en compagnie de mon amoureux, il y avait un sujet sur la dae blanche de je ne sais plus qu'elle abbaye...<br /> Intéressant ces petites légendes. Pour ma part je n'ai jamais eu à fiare à une dame blanche, peut-être un jour qui sait et là on verra comment je réagirai ! ^_^<br /> Contente de vous lire de nouveau ! Gros gros bisous à toute la troupe !
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H
Vive les vacances ! bisous
F
Je n'ai jamais rencontré non plus de Dame blanche (enfin si souvent, mais au chocolat, lol)Bonne fin de semaine !!!
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H
en chocolat !!! cela ne m'étonne pas (hi hi) bisous et bonne fin de semaine
B
J'avoue que les histoires de fantômes me font plutôt peur, parce que j'ai tendance à y croire...Mais ce texte me rassure quelque peu, en tous les cas sur les dames blanches. Si j'en rencontre une, je sais que je n'aurais pas à en avoir peur... mais bon je préfère ne pas faire ce genre de recontre ;-)Bises Honorius,Bool
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H
pas de raison d'avoir peur des fantômes, ils sont moins méchants que certains... vivants !! Bisous
M
croire au surnaturel  c'est un peu difficile quand on les pieds sur terre, comme moi, maisje laisse quand même laporte ouverte ..pour cette dame blanche ..Pourquoi pas ???Quand j'étais jeune, il fallait passer devant le cimetière pour aller chez moi et les nuits d'été, on   y apercevait des lueurs, feu follet me disait- on mais qui me faisait cavaler à la vitesse grand "V".Bisous Honorius  et j'espère que ta santé va bien maintenant
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H
tout va bien, et tu as raison, il faut toujours laisser la porte ouverte... Bisous
S
Petit coucou en passant, le problème sur ce joli blog c'est que les articles sont passionnants et les commentaires aussi alors forcément juste un coucou en passant, ça prend du temps !!!!<br /> cette légende de Dame Blanche déchaîne les passions !! mais c'est vrai que la couleur blanche a toujours une certaine aura.... va savoir pourquoi ?<br /> Bise, à bientôt
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H
hi hi... bisous
V
Je n'ai pas encore rencontré de Damme blanche, mais maintenant je saurai comment réagir lorsque cela m'arrivera. A bientôt Véro
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H
toujours utile de savoir comment faire avec ces Dames ! A+
A
Merci Honorius, de ton passage chez moi ! Ah! La Dame Blanche, étant enfant, j'avais trés peur de la rencontrer ! Aujourd'hui je trouverai celà trés interressant et j'aimerai lui parler ! Alors j'attends !! On ne sait jamais !  J'espère que ton séjour en Allemagne a été une réussite ainsi qu'à vous tous . Gros bisous.
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H
super l'Allemagne... Bisous, et tu as raison, les Dames blanches... on ne sait jamais !
M
J'ai souvent scruté la nuit noire espérant y voir une dame blanche, lors de mes voyages nocturnes à travers la France. Je n'en ai jamais rencontré mais j'en ai souvent entendu parler... Sois sûr Philippe que si d'aventure l'une d'entre elles se présente devant moi, je l'écouterai et la suivrai où qu'elle aille... puisque tu dis qu'elles sont toujours bénéfiques....<br /> amicalement à toi, Martine, la pèlerine
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H
bisous Martine...
A
J'aime, que disois-je.. j'adore ce genre d'histoires. C'est tout plein de rêves et cela aiguillonne l'imagination,  et comme j'ai gardé mon âme .....d'enfant hihihi du moins je le crois! ça me plaît. Cela me fait penser à cette formule que j'avais lue dans les "contes du yin et du yang" que je sors dès que l'occasion se présente et en voilà une : "Les visions naissent de ceux qui les contemplent" 
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H
qui garde son âme d'enfant reste éternellement jeune ! Amitiés
L
que j'aime venir me perdre ici !!je suis plongée dans la farnc-maçonnerie en ce moment ...les templiers les roses-croix...passe une bonne journée bisous
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H
passionnants sujets ! Bisous 
M
Coucou mon vieux sorcier, préviens tes fans, les votes sont ouverts. Gros bisous (Marisa)
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H
je vais le faire... Bisous
A
je relis ce texte que je trouve trés jolie et qui met la chair de poule et d"émotion aussi.<br /> bravo bisous
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H
merci... pour Philippe cela va lui faire plaisir. Bisous
:
... et que devient notre vieux sorcier préféré ?bises
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H
du travail en ce moment, mais je vais bien. Bisousl
R
Dans ma région d'origine, la Normandie, la Dame Blanche a une connotation très négative.On dit que ceux qui la voit meurent dans l'année.Les plus connues sont, je crois, celles du château Gaillard et de l'abbeye du Bec Hélouin
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H
oui pas toujours positives les Dames blanches !
E
Bon dimanche !
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H
bonne semaine... bisous
M
Salut Vieux Sorcier !Moi qui crois aux spectres (ne me jeté pas des pierres... j'y crois pour des raisons particulières...mais j'analyse quand même de manière très critique, donc je ne crois pas du tout à tous les phénomènes, mais qu'à quelques uns ), je ressens plutôt de la tristesse face à cette morte qui vole au-dessus de sa tombe à toutes les nuits, qui pleure son chagrin sans jamais réussir à se libérer. En plus, elle annonce des événements troublants, des accidents, ce n'est pas joyeux être un symbole de malheur. Grosses bises. Maja.
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H
oui pas toujours joyeux son apparition... bisous
C
en ce moment grande question à Orléans<br /> l'ordre de saitn lazarre est-il le succésseur de l'ordre du templier ? ces derniers ont-ils transmis leur secret à l'ordre de saint lazarre ?<br /> et quand est-il du prieuré de Sion à Orléans ?perso, j'avais fait des recherches sur le sujet quand j'ai lu le da vinci code ... et sur orléans impossible d'y avoir accès ...enfin, c'est à surveiller ...bisous<br />  <br /> ps : c'est une historienne qui évoque le sujet ... elle parle du livre de dan brown, affirmant qu'il s'agit d'une fiction qui cependant s'appuie sur des textes réelles, notamment le serpent ... etc ... <br /> le livre est donc basé sur des oeuvres réelles .. même si cela reste une fiction, il n'a pas basé son oeuvre sur du vent, ce que ces détracteurs ne veulent pas reconnaitre, ... j'ai choisi la version illustrée histoire de vérifier un peu ces dire, j'ai ensuite fait quelque recherche ... et c'est en ce sens, que je dis que son roman tient la route et donc que c'est une bonne fiction ... n'oubliez pas ... DA VINCI CODE est une FICTION et non une THESE ...<br />  <br /> bisous
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H
oui juste une oeuvre de fiction avec quelques bases ou spéculations historiques... et c'est tout ! bisous Cat
L
Un petit coucou <br /> aujourd'hui, chantons et dansons sous la pluie et le soleil en alternance<br /> bonne soirée, :0010:
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H
hier soleil et aujourd'hui la pluie !!! bisous
A
Coucou mon vieux sorcier bien-aimé... Je tenais à te faire un très gros bisou pour ton amical soutien. Bon week-end à toi et à ta famille. Gros bec
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H
gros bisous Alexandre, je pense bien à toi
C
Ce charmant texte sur la dame Blanche est écrit de façon très poétique,je ne connaissais pas tes talents de poète Philippe le Templier,tu nous étonneras toujours...Toutes mes amitiés ainsi qu'à Dame Clémence.
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H
et oui toujours surprenant notre templier....
M
pauvre dame Blanche ,si elle pouvait enfin trouver le repos..Bisous Honorius..s'il tonne en mai, c'était quoi le proverbe..??
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H
si il tonne en mai... fait ce qu'il te plait... hi hi, c'est de moi cela !!! bisous
C
Dans le pays d'Afrique où j'ai vécu 13 ans on avait très peur de la Dame Blanche. Elle apportait la Mort... Elle venait déposer des sorts sur le rebord des fenêtres et si on s'endormait sans avoir retiré le sort, on ne se réveillait jamais... <br /> Ma bonne était terrorisée. Je lui ai dit que si elle chassait toute mauvaise pensée de son esprit, la Dame Blanche ne pourrait pas la trouver...<br /> Bises
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H
des dames blanches en Afrique ! je ne savais pas cela... bisous
:
et encore une semaine de terminée....bonne nuit !
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H
et une qui commence !!! enfin elle va être courte... bisous 
:
Bien chers Philippet et Honorius, j'ai apporté ici ma boule de cristal et vais devant vous demander à la belle Dame ( sans la dérange et poliment) ce qu'il lui ferait plaisir. Je me concentre...chhhuuttt!la voici. Je vous laisse lui poser la question...Moi j'ai la trouille!hi!hi! Bisou à vous et merci pour ce bel article. Bon week-end.
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H
je laisse le soin à Philippe qui est un spécialiste ! hi hi...bisous
L
Merci pour ce petit moment de merveilleux qui nous permet de nous évader de notre quotidien (pas beaucoup d\\\'apparitions de dame blanche dans le métro, ces derniers temps).Mes salutations à Honorius et au Templier.
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H
dans le métro... je m'en doute ! hi hi
L
dommage que tu as loupé le moulin ca doit-etre chouette de vivre dedans, je te fais des  et bon courage pour ton festival, tu vas nous faire un article dessus<br /> La dame blanche de Mortemer est à éviter quand elle porte des gants noirs, J'y retourne bientôt il y a la troupe théatrale de Mortemer qui joue un spectable Richard coeur de lion, a 16h la dame blanche ne sera pas encore là
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H
ouf... ! bisous
F
Bon ben si toutefois je la rencontre, j'essayerai de ne pas avoir peur et de la suivre... Ce n'est pas gagné, non pas de la voir mais d'avoir le courage ;o)))))) lol<br /> Je connaissais la légende mais pas aussi complet que la description de l'ami Philippe le Templier !<br /> Fraternellement ;)
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H
a bientôt Francky !
P
Comme j'aimerais la rencontrer cette mystérieuse Dame Blanche !!! sait-on jamias avec ton aide cela sera sûrement plus facile maintenant, je vais en tous cas bien veiller à ce qui je croise.<br /> Gros bisous à vous tous, même si je pense que mon "vieux sorcier" favori est plutôt  vêtu de noir  et que je vois mes ptites fées de toutes les couleurs. <br /> Mais toi, Chevalier du Temple tu es en blanc il me semble ...?
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H
le blanc et le noir.... oui.... bisous
G
J'en ai souvent entendu parler mais je n'en ai jamais rencontré. Mais je serais prévenue de ce qu'il faut faire si ça m'arrive !
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H
et une grenouille prévenue en vaut deux !
J
A St Etienne, quand j'étais petite, mes compagnes de classe parlaient d'une Dame Blanche qui hantait la petite ville voisine de Terrenoire (ce n'est pas une plaisanterie) Ma mère m'avait rassurée, ça n'existait pas.
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H
et tu es encore rassurée... ? bisous
N
Coucou, joli texte. Je ne connaissait pas cette histoire. <br /> Bonne fin de semaine et Gros bisous :0010:
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H
bonne semaine et bisous
S
Belle histoire que cette dame blanche. On en entend parler dans toutes les régions ....<br /> Mystérieuse, comme toujours !<br /> Au fait, pourquoi la couleur du deuil était le blanc .... et que cela a changé ? Pourquoi la remplacer par du noir .....et se marier en blanc !!! Deuil de la vie passée ....avant de se marier ?  Bizarre, l'évolution des coutumes ....<br /> Alors, ca va mieux, grand sorcier !!!  Au fait, si tu passes par chez nous, n'hésite pas à t'arreter chez nous, le temps d'une pause, quand tu sera en Normandie ! ce sera avec grand plaisir de la part des deux dragons ;-)<br /> Bonne fin de journée, et bisous ... à vous deux !<br /> Sophos<br />  
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H
en Normandie j'y suis en juin... alors qui sait... bisous
A
Salut à toi Honorius!!!<br /> Bénéfique la dame blanche, oui et bien je ne suis pas encore convaincu là, car la denière fois que j'ai suivi la dame blanche s'était ma femme à l'autel, et croyez moi ce n'était pas du tout un bon présage, hi hi hi!!!<br /> Trêve de plaisanterie j'espère que tu es forme vieux sorcier car j'ai une surprise pour toi qui t'attend sur mon blog, hé hé hé!!!<br /> Bien à toi et bon week-end!!! Amitiés, Adunaphel
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H
hi hi !!!! A+
J
Oh là là ! Que de choses à dire sur le mystère de la Dame Blanche au MA ! Il faut lire Chrestien de Troyes Yvain ou le chevalier au lion, pour connaître l'impact de la rencontre avec une Dame Blanche. Il faut aussi savoir que le blanc, au MA, était synonyme de magie. Combien ont croisé des cerfs blancs, des biches ou des sangliers blancs dans la forêt, toujours magiquement dotés ? Sans parler des oiseaux, aux pouvoirs enchanteurs, révélant des beaux jeunes chevaliers à la Dame captive...<br /> J'adore ce sujet, je pourrais en parler des heures !<br /> Cyberbises. J.
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H
il faut nous faire un article ! bisous